VISITE CHEZ LE GOUROU DU VEXIN

Après ce long hiver, nous avions envie d'aller saluer le Gourou du Vexin.
Il fait beau et ce devrait être volable alors on en profite pour conduire le Jumpy jusqu'à son terrain.

Nous y retrouvons quelques connaissances comme Hervé, Daniel et Antonio.
Nom d'un chien, ça faisait une paye que nous n'avions pas vu ce dernier. Quelle bonne surprise !

Yves s'apprête à faire son petit tour habituel.

Je prends mon envol à mon tour, direction Dangu.

Le Mimi qui m'a suivie ne tarde pas à me dépasser, comme d'hab.

Noyers : dommage que de grands arbres masquent cette belle demeure.

Les marais salants du Vexin...

Dangu et ses étangs.

Mais je n'irai pas jusque là-bas, j'ai envie d'explorer un peu ce qui est à portée de voile comme le château de Noyers.

Galette d'arbres nus.

Je l'ai déjà mis dans ma boîte à images, mais ça fait déjà un moment.

Dame nature a mis ses rayures.

Je m'approche tranquillement en virevoltant.

Ces grands bâtiments semblent abandonnés. Un tel potentiel, c'est un gros gâchis.

Toujours Noyers.

Ici, c'est l'Epte qui coule.

Chemin faisant je me suis rapprochée des étangs de Dangu.

J'aime bien ce petit château.
Je ne descends pas plus ni ne m'attarde, il y a du monde.

Face au soleil, la visi est moyenne. Le cours de la rivière serpente dans les prairies.

Les ombres s'allongent. Je me suis rapprochée du terrain sur lequel il reste encore quelques pilotes.

La lumière du soleil couchant s'attarde sur les reliefs de la carrière.

Je n'ai absolument pas retouché ces photos.

Il y en a du matériel dans ce grand trou !

Et là, quel bazard !

Bon, je cesse de shooter, la lumière commence à manquer. J'atterris.

Il est intéressant de constater le travail de l'appareil photo, en fonction de l'endroit où il fait la mise au point. Ça peut tout changer.

Mais d'une manière ou d'une autre, la lumière est devenue insuffisante sans le flash. Je suis floue !

Nous ne nous sommes pas bien concertés avec Antonio envolé le premier, mais dans le sens opposé à notre intention.
Je n'aime pas partir vent de cul alors je ne l'ai pas suivi. Et comme il n'avait pas de radio...

Dommage !

C'était une reprise pour lui après une longue période d'interruption. Alors ça va, il est heureux et affiche quand même un large sourire.

Très contente de t'avoir revu Antonio. La prochaine fois nous serons synchrones, promis !