SEJOUR A MALTE
Le beau temps tardant à venir, nous avons décidé d'aller le chercher !
- samedi 6 avril : Orly, 11h45, notre avion décolle pour des cieux meilleurs (enfin on l'espère...)
2h40 plus tard, nous nous posons sur l'île de Malte (27 km dans sa plus grande longueur et 14,5 km dans sa plus grande largeur)
A partir de ce moment, la langue française n'est plus en vigueur. Miss Tortue devra pour toute une semaine mettre en oeuvre ses "vieux restes" d'anglais du collège...
L'hôtel où nous posons nos valises est le Bayview, situé au bord de la crique de Sliema. Voici la vue que nous avons depuis le balcon de notre chambre :
Pas mal non ?
Nous prenons nos marques en nous baladant à pieds dans le coin. La promenade au bord de l'eau est très agréable malgré un vent plutôt frais.
Voici quelques uns des fameux balcons en bois des habitations de l'île :
Mais vous aurez l'occasion d'en voir d'autres.
Chose étonnante, ici des canards semblent avoir pris la place des mouettes !?...
Dans ce petit port, de beaux bateaux côtoient les plus modestes.
Mais là aussi, vous en verrez d'autres.
Je tiens à préciser que je n'ai aucunement retouché les images que contient ce message. Les couleurs sont tout à fait naturelles. J'ai simplement du les compresser comme d'habitude, pour qu'elles soient un peu plus faciles à charger.
La journée se termine calmement. Partie avec un gros rhume et du fait de l'altitude probablement, je n'ai pas très bien vécu le vol depuis Paris. Je ne me sens pas très bien et je suis fatiguée. Une bonne nuit réparatrice devrait arranger tout ça.
- dimanche 7 avril : aujourd'hui le ciel est couvert et il pleut un peu. Ça change complètement le décor, mais c'est joli aussi.
Pas grave. Nous partons à pieds longer la crique sur presque sa moitié. Aller et retour cela fait une bonne trotte interrompue par quelques arrêts "prise de vue".
Vraiment amusant ces canards sur l'eau salée... Mais tiens, c'est quoi ça ?
Nous faisons le tour pour aller voir de plus près... vin diousse quel bric a brac ! Voici l'envers du décor de... l'île aux canards :
Ce qui probablement explique la présence des colverts dans l'eau du port. Celui-ci étant un canard sauvage, il a certainement su s'adapter à l'eau salée alors que les autres qui sont des races de basse-court comme le barbarie, restent sur leur petit îlot.
Bon, continuons avec Notre-Dame du Mont Carmel en arrière-plan, située sur Valletta.
Elle fait face à l'île Manoel, sur laquelle on peut voir son lazaret où étaient mis en quarantaine tous ceux qui débarquaient sur Malte.
Maintenant, ce n'est plus qu'un petit port privé.
Un peu plus loin, c'est le port de Marsamxett qui abrite des bateaux militaires.
Bon, demi-tour pour nous rendre à l'autre bout de la crique, côté mer.
Les "petits gris" ont de drôles de congénères par ici !
La photo juste au-dessus, à droite, représente à nouveau Notre-Dame du Mont Carmel mais sous un autre angle.
D'un peu plus près...
Nous sommes maintenant arrivés à la pointe du fort Tigné et de son ancienne distillerie d'eau de mer. Le fort est inaccessible à cause des travaux d'aménagement qui ont lieu depuis plusieurs années.
Aux rambardes du pont Tigné sont attachés des dizaines de cadenas !?...
Ne me demandez pas à quoi ils servent, je ne le sais pas. Si quelqu'un a une explication, je suis preneuse.
Le ciel se charge un peu plus
mais laisse quand même de toutes petites trouées par lesquelles s'échappe la lumière du soleil.
Le vent se lève, la mer s'agite.
Là, nous nous situons de l'autre côté de l'île Manoel et nous avons vue sur son fort.
Des vaguelettes viennent tourmenter l'eau de la crique.
Avant d'aller me coucher, je prends des photos de nuit, depuis notre balcon.
Avec la Go-pro :
C'est ma foi pas trop mal, non ?
- lundi 8 avril :
Ce matin le ciel est plus attirant qu'hier et nous avons décidé d'aller visiter Valletta.
Le réseau des bus est bien desservi et c'est le moyen de transport le plus adapté à la circulation très dense du coin : véhicules articulés de 18m de long dans lequel peuvent s'engouffrer 160 personnes ! On a l'impression que c'est plein, mais il monte toujours du monde...
Lorsque nous arrivons devant la co-cathédrale de Saint Jean, des motards et des voitures officielles se garent en même temps. Je ne me risque pas à les photographier, je ne suis pas certaine que ce soit une bonne idée. Je prends juste discrètement 2 images de la façade du bâtiment et continuons notre chemin.
Remarquez l’horloge aux trois cadrans : elle affiche l’heure, le jour de la semaine et le quantième.
Bon, nous reviendrons pour voir l'intérieur lorsque tout ce "beau monde" aura quitté les lieux.
Comme dans toutes les villes où il fait chaud, les rues sont étroites. Les façades portent de nombreux petits balcons de bois, les mêmes que vous avez pu voir au début de ce post.
Il semblerait que ceux-ci soient d’origine arabe. On dit qu'ils permettaient aux femmes traditionnellement confinées à la maison, de pouvoir regarder l’activité dans la ville sans être vues. De plus, les fenêtres de côté laissaient entrer une douce brise dans les maisons, sûrement très apprécié lors des chauds étés maltais (la température atteint souvent les 40°)
Malte regorge d'édifices religieux et je serais curieuse de connaître le nombre total de cloches que cette petite île abrite (sans me compter bien sur...)
Notre chemin nous amène à l'entrée de Grand Harbour (port à la pointe Est de la Valette)
Une grosse corne de brume se fait entendre. J'adore : "pouuuuuuuuu.......pouuuuuuuuu!!!" Il faut dire que ce qui arrive est impressionnant !
pouuuuuuuuu !!! Ça vibre dans le ventre, c'est trop génial !
Regardez-moi tous ces petits bonshommes !
Et cette cloche-là, elle est balaise non ?
Pour mieux vous rendre compte de sa taille :
C'est The Siege Bell Memorial (Grand Siège de Bell) Ce mémorial de 10 tonnes de bronze a été inauguré par la reine Elizabeth en 1992.
En contrebas, un monsieur semble se reposer
en contemplant les 3 cités (Vittoriosa, Senglea et Cospicua)
ainsi que les allées et venues dans le port.
Cette statue de bronze représente en fait les 7000 tués pendant le siège de Malte de 1940 à 1943...
La suite de la visite nous amène dans un jardin de Barraca. D'abord la partie basse où nous faisons une petite halte. Je ne suis pas très en forme et j'ai besoin de me reposer un peu. Ce petit parc est parfait pour ça.
D'ici, on a encore une jolie vue.
Pour changer un peu de décor et avant de passer dans le second jardin de Barraka (la partie haute) je vous propose une petite balade en ville avec un diaporama : des rues étroites et escarpées, de nombreux balcons, des statues à presque tous les angles de rue, des églises... des panneaux de sens interdit...
Passons maintenant dans l'autre parc, situé sur un promontoire au-dessus des fortifications de la ville.
De là-haut, le spectacle est magnifique.
Nous surplombons Saluting Battery (batterie de salutation) A l'époque des chevaliers, on tirait 3 fois par jour : au lever et au coucher pour signaler la fin et le début du couvre-feu, mais aussi à midi.
Nous continuons ensuite notre chemin, toujours à pieds.
Il est presque midi et nous marchons depuis ce matin 8 heures. Je n'ai pas mangé grand chose au petit déjeuner et je traîne un peu la godasse. Je n'ai vraiment pas la frite. Une petite sieste s'impose encore, toujours avec vue sur le port.
Puis on repart. Nous voulons maintenant rejoindre Hastings Gardens (les jardins de Hastings) d'où parait-il, la vue est imprenable.
Les échafaudages et les grues sont partout. Grâce au financement de l'Europe, de nombreux travaux de construction ou de rénovation sont en cours.
Tiens, ça va être la fête par ici !
Au bout d'un moment que j'ai trouvé très long, voici enfin l'entrée d'un parc. Sur la pancarte je traduis : "jardin botanique"... Hem, hem, cela me paraît bizarre. Ca ne correspond pas à ce que nous cherchons...
Un monsieur se trouve là : -" please mister ?" Je vous fais grâce de la suite dans mon charabia anglais...
Ben voilà. Mon GPS à 2 pattes à déraillé et me dit maintenant : "- faites demi tour dès que possible" ! En fait, nous sommes partis trop loin et c'est au jardin botanique de Floriana que nous avons échoué...
Pas le choix ! Nous rebroussons chemin pour enfin retrouver le centre de Valletta.
Ici, les taxis fonctionnent à l'électricité.
Là, des traces du passage des Anglais sur cette île.
Il faut dire que les maltais ont été sous leur protection pendant plus d'un siècle et demi. C'est pour cela aussi que la conduite se fait à gauche. Prendre les ronds points à l'envers, ça fait bizarre je vous le dis.
Enfin, nous avons retrouvé la co-cathédrale de Saint Jean ! Vous entrez avec moi ?
Son pavement est constitué de 374 pierres tombales des chevaliers les plus prestigieux de l’Ordre. Un damier régulier réalisé sur le principe de la marqueterie pas de bois, mais des plus beaux marbres colorés.
Le peintre de la voûte, Mattia Preti, utilisait déjà les techniques du trompe-l’oeil.
Non, sur cette photo que vous venez de regarder, ce ne sont pas des statues de chaque côté du gros oeil de boeuf, mais des peintures. L'artiste a reproduit les ombres des personnages sur le cadre de la scène. L'illusion est parfaite !
Vous trouverez quelques images supplémentaires dans l'album qui suit. Vraiment, ça vaut le coup de le visionner.
Vers 16h : -"Bon Michel, désolée mais je crois qu'il faut mieux que l'on rentre à l'hôtel maintenant. J'ai un truc qui cloche..."
Nous reprenons le bus pour retrouver notre chambre et la décision s'avère avoir été la bonne.
Le guide du routard met en garde des moustiques et de la gastro. Je n'ai pas rencontré les insectes mais le reste !...
- mardi 9 avril :
Aujourd'hui, le ciel est tout bleu mais le fond de l'air reste frais.
Ce matin je reste à me reposer dans la chambre pendant que Michel va faire un tour le long de la crique. Il faut à tout prix que je récupère de ma mauvaise soirée.
Après avoir un peu "refait surface", en début d'après-midi nous prenons le bus pour nous rendre à Saint Julian's. Cette station balnéaire dont le commerce touristique est la première activité, est une vaste agglomération qui a les pieds dans l'eau mais surtout dans le béton. C'est l'endroit idéal pour venir se montrer et faire la fête, mais surtout pas pour y trouver le calme...
On y trouve quand même d'anciens édifices.
Les maltais n'hésitent pas à mélanger les constructions modernes avec les anciens bâtiments rénovés ou pas.
Encore des cadenas !
Petite halte au bord de Sinola Bay, très abritée
où mouillent dans un petit coin de port, quelques barques et bateaux de pêche très colorés.
Tout le reste n'est que béton !...
Sur les plages, impossible de faire des pâtés et vous n'aurez pas de sable dans vos chaussures.
Le retour sur Sliema se fait à pieds. Ici, c'est une autre manière de donner de la couleur au paysage. D'anciens bidons plastique font très bien l'affaire.
Le jour finit par décliner
jusqu'à ce que la nuit prenne la relève.
Situés au Nord Est de l'île, nous ne pouvons pas assister aux couchers de soleil. Dommage. Mais les photos de nuit, c'est sympa aussi.
- mercredi 10 avril :
Retour à Valletta pour nous rendre à Hastings Gardens que nous n'avons pas eu le temps de visiter lundi.
Passage obligé par les portes de la ville en cours de reconstruction. L'épaisseur de leur mur est énoooorme !
Feu !
En plein été, je ne vous raconte pas la température qu'il doit faire sur cette petite terrasse ! Et si vous avez envie de passer par-dessus la rambarde, gare à la marche !
Les fiers chevaliers qui devaient passer par-là il y a fort longtemps ont été bizarrement remplacés...
De là-haut, la vue est impressionnante.
Béton à outrance.
Sliema et sa crique.
L'île de Manoel avec la grande tour bleue de St Julian en arrière plan.
Terrains de sport "en cage". Par-terre, ce n'est pas de l'herbe mais de la peinture verte.
Les ports sont pratiquement tous privés. De magnifiques bateau y sont amarrés. Ah ah ! Qui est-ce qui cache des sous ici ?
La production d'eau chaude se fait sur les toits. Chacun son bidon. Rayonnement et panneaux solaires font l'affaire.
Sur l'île de Malte, il fait très souvent beau et chaud mais lorsque qu'il n'y a pas de vent... regardez ces traces jaunâtres dans le ciel. Je pense que c'est la pollution qui en est l'origine. Ce sont mon nez et ma gorge qui vous le disent.
Retournons en ville. Des balcons, toujours des balcons, même dans les angles. Il arrivent à les construire en demi-cercle.
Et puis si on rentrait dans cette église voir l'intérieur ?
Bonne idée. L'église des Carmes est totalement différente de la co-cathédrale St Jean mais elle n'en est pas moins jolie pour autant.
Superbe luminosité.
On y trouve la marqueterie en marbre coloré.
Retour à l'extérieur : quelques images prises au gré de la promenade :
Le hasard nous amène sur cette charmante petite place. Un bar y est ouvert et les consommateurs profitent du soleil sur une minuscule terrasse.
Nous voici maintenant du côté des 3 cités, à Vittoriosa. Ce port privé abrite encore de très luxueux bateaux.
Je remarque enfin une horloge trompe l'oeil. Méfiez-vous si vous cherchez à connaître l'heure, elles sont plusieurs sur l'île de Malte.
Après avoir encore bien marché toute la journée, nous rejoignons la gare routière de La Valette pour regagner Sliema.
Sur cette grande place se trouve une fontaine monumentale : la fontaines aux tritons.
Le Mimi serait-il parti à la chasse à la "galinette cendrée" ?
- jeudi 11 avril :
Nous avons prévu de nous rendre sur l'île de Gozo, située à 5km au nord-ouest de l'île de Malte (14 km de long pour 7 km de large - point culminant à 190m)
1h dans un bus très bruyant et sur une route très chaotique et viroleuse. A tel point que dans les virages, je manque à chaque fois de glisser de mon siège, ceux-ci étant démunis d'accoudoirs. Un vrai périple pour arriver jusqu'à Cirkewwa (au Nord Ouest de Malte) et prendre le ferry.
Une fois embarqués, nous passons tout près de l'île de Comino, petit "caillou" de 850m de large, très aride.
Quel bleu mes z'amis !
Arrivée au port de Mgarr après 30mn de navigation.
On y retrouve les barques colorées des pêcheurs.
Après avoir débarqué, nous voulions prendre un bus pour nous rendre à Nadur. Hélas, celui qui s'est présenté était trop petit pour prendre tout les passagers du ferry... Il faut attendre le suivant qui ne passera que dans 1 heure...
Après beaucoup de patience, nous voilà qui roulons jusque Nadur qui occupe un haut plateau dominant tout l'Est de l'île... mais d'un commun accord, nous ne descendons pas. Pourquoi ? Parce qu'il n'y a rien à cet arrêt perdu au bout de nulle part et où les bus sont rares. Nous avons déjà assez perdu de temps à attendre. Nous décidons de continuer et de nous arrêter à Victoria, capitale de Gozo.
Le panorama depuis les remparts de la ville est superbe.
Les parcelles de terres sont petites. Les cultivateurs ont au plus de 2 hectares de terre à s'occuper. Gozo est le grenier de l'archipel de Malte, mais ne suffit pas à subvenir aux besoins de tous.
A Victoria, les filles sont aussi sur les échafaudages. Celle-ci rebouche à la main les trous formés par l'érosion, sur la pierre tendre : travail de fourmi !
Compte tenu de l'heure déjà avancée du début d'après-midi et afin de ne pas rater le dernier ferry, nous décidons de faire la visite globale de Gozo en bus panoramique. Le guide du Routard a raison, il faut consacrer plus d'une journée à cette île, sinon c'est trop court.
On vous emmène en balade ?
Les photos ne sont pas trop nettes mais elles sont prises en roulant, quoique à un moment, la route montait si raide que le car n'arrivait presque plus à monter. J'ai bien cru qu'il allait falloir pousser !...
Voici les 3 dernières
avant le retour à Cirkewwa,
puis Sliema vers 20h30.
- vendredi 12 avril :
La matinée commence tranquillement par une promenade pédestre jusqu'à Msida.
Toujours les bateaux colorés.
L'église Saint Joseph.
Dommage qu'une toute petite brise ride la surface de l'eau.
Un petit coup de coeur coloré.
Un bateau de "riche" !
Ben oui, à côté du petit gris qui suit...
Pour avoir un ordre de grandeur, le bidon bleu foncé est un bidon de 20 litres.
Hey Fred et Nol, vous nous aviez caché ça !!!
Adaptation totale des colverts dans le milieu salé. Quant aux poissons, ils ont bien compris qu'ils ne risquaient rien de ces oiseaux-là.
Après l'effort, le réconfort. Il fait 27° à l'ombre. Chinnnn !
Comme nous n'avons pas pu profiter des lagons de Gozo par manque de temps, nous désirons nous rendre à la grotte bleue située au Sud de Malte. Elle s'enfonce à plus de 40 m sous la falaise et compte parmi les spots de plongée les plus prisés (petite pensée pour Gilles)
Nous prenons donc le bus 62 et descendons à Qrendi pour ensuite monter dans le 201. Petit bled mort de chez mort où un couple de jeunes semble attendre déjà depuis un petit moment.
Le bus 62 passe toutes les 30 mn et le 201, toute les heures. Il ne devrait pas tarder.
Sur la petite place où nous sommes, il n'y a pas d'ombre et pas un poil d'air.
On attend, on attend, le temps tourne... Le 62 repasse... on attend, on attend, je lève les pieds voir si je ne prends pas racine... le 62 apparaît à nouveau... tant pis, ni une ni deux, nous regrimpons dedans. Plus d'1 heure de perdue pour rien ! Dommage et tant pis pour nous.
Quelle mauvaise organizatione !
- samedi 13 avril :
Il est temps de refaire les valises. La chambre doit être libérée pour 11h.
Un dernier coup d'oeil sur la vue depuis notre balcon
et nous attendons notre navette en admirant le port et sa promenade jusqu'à la dernière minute.
Nous perdrons le soleil juste après les montagnes françaises.
Petit message pour nos pilotes et élèves : à la tropopause, entre 11 et 20 km d'altitude, la température est constante et vaut -56,5 °C. Cela vous rappelle-t-il quelque chose ? Regardez les cristaux de glace qui se sont formés à l'extérieur des hublots.
Retour sur Paris dans le gris. Ça je m'y attendais.
Mais cerise sur le gâteau... la pluie.
Bah, malgré ma petite forme et le fait que nous n'avons pas pu faire tout ce que nous aurions souhaité, j'en ai bien profité quand même. J'ai pu faire une réserve de bleu et de belles images. C'est une chance.
Bien incapable de construire de belles phrases en anglais, je suis contente d'avoir toujours réussi à me faire comprendre. Bon d'accord, vu le petit sourire amusé des locaux, j'ai bien l'impression que c'est surtout parce qu'ils sont habitué à décoder le mauvais anglais...
J'espère que vous avez aussi fait un bon voyage... virtuel.
Boujou tout le monde.